

L'association « La Maison de Simone » créée en juin 2008, a pour objectif l'accueil et l'information des femmes victimes de violences conjugales avec ou sans enfants, le soutien et l’accompagnement dans leurs démarches et leur recherche d'autonomie, la gestion d’une structure d’hébergement temporaire, avec un accompagnement social et psychologique, permettant d’accueillir 7 femmes et leurs enfants ainsi que l'information et la sensibilisation des personnes relais.
25 mai 2009 : Conférence-débat "Les enfants exposés aux violences conjugales : quelles conséquences ?"
La maison de Simone
Vous invite
à une conférence-débat, sur le thème
« Les enfants exposés aux violences conjugales : quelles conséquences ? »,
avant son Assemblée Générale le Lundi 25 Mai, salle Roger Cohé à 18h30
Animée par :
Bernard Allemandou, médecin pédopsychiatre, Directeur
scientifique de la revue Sociologie Santé (N° Juin 2006 <>)
Françoise février, psychologue clinicienne, ancienne Directrice de Maison d'Enfants à caractère social
Cette conférence sera suivie d'un pot de l'amitié
Contacts: Mail : asso-maisondesimone@orange.fr
2eme article paru dans Sud Ouest
DÉBAT. Demain, un film sera présenté au Jean-Eustache. Il sera suivi d'une discussion. Une soirée organisée à l'occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes
Le mardi 25 novembre est la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. La Maison de Simone, association récemment créée à Pessac en hommage à une célèbre militante pessacaise, Simone Rousseau (« SO » du 20 octobre), et qui regroupe déjà une soixantaine d'adhérents, a décidé d'y participer en organisant une projection de film suivie d'un débat.
La soirée débutera, à 18 h 45, au cinéma Jean-Eustache avec un pot d'accueil et d'amitié. À 19 h 30, sera projeté le documentaire de François Chilowicz, « Violences conjugales en guise d'amour » (2006). Il sera suivi d'un débat qui doit permettre de « s'enrichir de la diversité des regards », selon les mots de Jackie Vigneau, vice-président de La maison de Simone.
Prendront ainsi la parole, la présidente et la directrice de l'association pour l'accueil des femmes en difficulté (Apafed), Christine Campo (Groupement de gendarmerie), cinq représentants de la direction départementale de la sécurité publique, un médecin de la Cauva (Centre d'accueil d'urgence aux victimes d'agressions), un médecin psychiatre Bernard Allemandou.
« Chacun expliquera le travail qu'il fait » face aux cas de femmes victimes de violences, ce « parcours long dans l'isolement et l'humiliation, de destruction progressive », résume Céline Lafue, présidente de La Maison de Simone.
L'association a ouvert un service d'écoute, chaque mardi de 14 à 18 heures, à la plate-forme de services de Pessac. À ce jour, sept femmes y ont été reçues donnant lieu à une dizaine d'entretiens. Âgées de 33 à 50 ans, elles ont fait état de violences psychologiques, physiques (dans quatre cas) voire des menaces avec armes (trois cas). Toutes s'étaient déjà adressées à un service de police ou de gendarmerie. Le fait de se rendre dans une association constitue pour elles un pas vers « une écoute, une compréhension de leur situation ».
La soirée débutera, à 18 h 45, au cinéma Jean-Eustache avec un pot d'accueil et d'amitié. À 19 h 30, sera projeté le documentaire de François Chilowicz, « Violences conjugales en guise d'amour » (2006). Il sera suivi d'un débat qui doit permettre de « s'enrichir de la diversité des regards », selon les mots de Jackie Vigneau, vice-président de La maison de Simone.
Prendront ainsi la parole, la présidente et la directrice de l'association pour l'accueil des femmes en difficulté (Apafed), Christine Campo (Groupement de gendarmerie), cinq représentants de la direction départementale de la sécurité publique, un médecin de la Cauva (Centre d'accueil d'urgence aux victimes d'agressions), un médecin psychiatre Bernard Allemandou.
« Chacun expliquera le travail qu'il fait » face aux cas de femmes victimes de violences, ce « parcours long dans l'isolement et l'humiliation, de destruction progressive », résume Céline Lafue, présidente de La Maison de Simone.
L'association a ouvert un service d'écoute, chaque mardi de 14 à 18 heures, à la plate-forme de services de Pessac. À ce jour, sept femmes y ont été reçues donnant lieu à une dizaine d'entretiens. Âgées de 33 à 50 ans, elles ont fait état de violences psychologiques, physiques (dans quatre cas) voire des menaces avec armes (trois cas). Toutes s'étaient déjà adressées à un service de police ou de gendarmerie. Le fait de se rendre dans une association constitue pour elles un pas vers « une écoute, une compréhension de leur situation ».
Auteur : Michel Monteil
m.monteil@sudouest.com
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Simone Rousseau
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